Carillon Rémi - jeudi 06 mai 2010
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Suite à mon article paru dans le n° 737 (Burqa : ne pas se tromper de problème), on me demande : « Comment faire pour éradiquer l’Islam de France ? » Autant le dire tout de suite, c’est quasiment impossible, car trop tard. Néanmoins, je vais décrire deux méthodes possibles, l’une douce, l’autre forte. Voici la méthode douce. Je parlerai dans un prochain numéro de la méthode forte.
La méthode douce consisterait d’abord à faire admettre aux musulmans vivant en France un certain nombre de principes fondateurs de nos démocraties occidentales :
– Il y a réelle séparation entre l’État, d’une part, et les Églises, d’autre part ;
– Toute religion est licite ;
– L’athéisme est licite ;
– Sur un territoire, il n’y a qu’une seule loi, celle de l’État, qui s’applique à tous ;
– Cette loi est écrite par les hommes et évolue dans le temps ;
– Sur un territoire, pour pouvoir coexister pacifiquement, les religions ne doivent avoir aucune revendication politique, mais se cantonner au spirituel et à l’intime.
Un bon musulman ne peut, en fait, accepter aucun de ces principes, pour une seule et bonne raison : aucun n’est dans le Coran. Pire, la charia dit tout le contraire :
– La loi n’est pas écrite par les hommes, mais par Dieu, qui l’a dictée aux hommes une fois pour toutes ;
– L’Islam a vocation à s’imposer sur l’ensemble de la Terre ;
– La guerre sainte est une obligation ;
– La soumission à un autre système que l’Islam ne peut être que temporaire ;
– Si le mensonge est répréhensible entre musulmans, il est licite vis-à-vis des mécréants, des juifs et des chrétiens.
Autrement dit, même si un musulman se pliait à notre façon de vivre, tout en pratiquant un Islam conforme à nos us et coutumes, ce ne serait qu’en attendant l’avènement de l’Islam. Le musulman n’est pas pressé. Il sait qu’il gagnera, car c’est écrit. Peu importe quand. Ce n’est pas son souci, mais celui d’Allah. Son seul souci à lui, c’est d’être un bon musulman. La loi que se sont inventés les mécréants qui l’entourent, ne compte pas à ses yeux. Il ne s’y soumet que lorsqu’il ne peut pas faire autrement – et provisoirement.
La méthode douce consisterait ensuite à revenir en arrière sur tous les « accommodements raisonnables » que nous avons concédés aux musulmans :
– Finis le voile et la burqa, la djellaba et la barbe longue ;
– Finis les horaires réservés aux femmes dans les piscines ;
– Finie la viande hallal dans les cantines ;
– Finies les rues occupées tous les vendredis par la prière musulmane ;
– Fini le financement public des constructions de mosquées ;
– Finies les revendications sur la façon d’enseigner l’Histoire ;
– Finis les crimes d’honneur, les mariages forcés, la circoncision et l’excision ;
– Finies les consultations médicales sexuées…
La méthode douce consisterait enfin à prononcer l’expulsion de France de tout musulman qui refuserait obstinément de se soumettre à notre loi au nom de l’Islam. L’Islam ne serait pas interdit en tant que tel, ni sa croyance, ni sa pratique, ni même son prosélytisme, mais tout récidiviste contrevenant à nos lois, dans le but d’appliquer l’Islam, serait condamné à l’expulsion.
Ce complet changement de politique devra être annoncé clairement, franchement et massivement, afin que les musulmans sachent à quoi s’en
tenir. Il est évident que ce ne sont ni le PS, ni l’UMP, qui mettront en œuvre une telle méthode. Seul un mouvement populaire de rejet de l’Islam pourra engendrer une telle révolution. Ce rejet ne se traduira pas, lors des élections, par l’abstention record que nous connaissons, mais au contraire par un vote majoritaire vers un parti qui préconise l’arrêt de l’immigration (sous-entendu l’islamisation), tel que le Front National.
Marine Le Pen a d’ailleurs inscrit à son programme de rendre constitutionnellement illégal tout communautarisme, ce qui permettrait l’application de la méthode. C’est la légitimité conférée par le vote du peuple souverain qui imposerait à la Police, à la Justice, à l’Éducation Nationale, à l’Armée, à la Santé publique, la mise en œuvre de ce projet salvateur.
Malheureusement, jusqu’à présent, le peuple français, plus fautif que les politiciens, vote majoritairement pour des partis favorables à l’immigration, donc à l’Islam. À nous, lucides, de le convaincre de voter autrement…
Suite à mon article paru dans le n° 737 (Burqa : ne pas se tromper de problème), on me demande : « Comment faire pour éradiquer l’Islam de France ? » Autant le dire tout de suite, c’est quasiment impossible, car trop tard. Néanmoins, je vais décrire deux méthodes possibles, l’une douce, l’autre forte. Voici la méthode douce. Je parlerai dans un prochain numéro de la méthode forte.
La méthode douce consisterait d’abord à faire admettre aux musulmans vivant en France un certain nombre de principes fondateurs de nos démocraties occidentales :
– Il y a réelle séparation entre l’État, d’une part, et les Églises, d’autre part ;
– Toute religion est licite ;
– L’athéisme est licite ;
– Sur un territoire, il n’y a qu’une seule loi, celle de l’État, qui s’applique à tous ;
– Cette loi est écrite par les hommes et évolue dans le temps ;
– Sur un territoire, pour pouvoir coexister pacifiquement, les religions ne doivent avoir aucune revendication politique, mais se cantonner au spirituel et à l’intime.
Un bon musulman ne peut, en fait, accepter aucun de ces principes, pour une seule et bonne raison : aucun n’est dans le Coran. Pire, la charia dit tout le contraire :
– La loi n’est pas écrite par les hommes, mais par Dieu, qui l’a dictée aux hommes une fois pour toutes ;
– L’Islam a vocation à s’imposer sur l’ensemble de la Terre ;
– La guerre sainte est une obligation ;
– La soumission à un autre système que l’Islam ne peut être que temporaire ;
– Si le mensonge est répréhensible entre musulmans, il est licite vis-à-vis des mécréants, des juifs et des chrétiens.
Autrement dit, même si un musulman se pliait à notre façon de vivre, tout en pratiquant un Islam conforme à nos us et coutumes, ce ne serait qu’en attendant l’avènement de l’Islam. Le musulman n’est pas pressé. Il sait qu’il gagnera, car c’est écrit. Peu importe quand. Ce n’est pas son souci, mais celui d’Allah. Son seul souci à lui, c’est d’être un bon musulman. La loi que se sont inventés les mécréants qui l’entourent, ne compte pas à ses yeux. Il ne s’y soumet que lorsqu’il ne peut pas faire autrement – et provisoirement.
La méthode douce consisterait ensuite à revenir en arrière sur tous les « accommodements raisonnables » que nous avons concédés aux musulmans :
– Finis le voile et la burqa, la djellaba et la barbe longue ;
– Finis les horaires réservés aux femmes dans les piscines ;
– Finie la viande hallal dans les cantines ;
– Finies les rues occupées tous les vendredis par la prière musulmane ;
– Fini le financement public des constructions de mosquées ;
– Finies les revendications sur la façon d’enseigner l’Histoire ;
– Finis les crimes d’honneur, les mariages forcés, la circoncision et l’excision ;
– Finies les consultations médicales sexuées…
La méthode douce consisterait enfin à prononcer l’expulsion de France de tout musulman qui refuserait obstinément de se soumettre à notre loi au nom de l’Islam. L’Islam ne serait pas interdit en tant que tel, ni sa croyance, ni sa pratique, ni même son prosélytisme, mais tout récidiviste contrevenant à nos lois, dans le but d’appliquer l’Islam, serait condamné à l’expulsion.
Ce complet changement de politique devra être annoncé clairement, franchement et massivement, afin que les musulmans sachent à quoi s’en
tenir. Il est évident que ce ne sont ni le PS, ni l’UMP, qui mettront en œuvre une telle méthode. Seul un mouvement populaire de rejet de l’Islam pourra engendrer une telle révolution. Ce rejet ne se traduira pas, lors des élections, par l’abstention record que nous connaissons, mais au contraire par un vote majoritaire vers un parti qui préconise l’arrêt de l’immigration (sous-entendu l’islamisation), tel que le Front National.
Marine Le Pen a d’ailleurs inscrit à son programme de rendre constitutionnellement illégal tout communautarisme, ce qui permettrait l’application de la méthode. C’est la légitimité conférée par le vote du peuple souverain qui imposerait à la Police, à la Justice, à l’Éducation Nationale, à l’Armée, à la Santé publique, la mise en œuvre de ce projet salvateur.
Malheureusement, jusqu’à présent, le peuple français, plus fautif que les politiciens, vote majoritairement pour des partis favorables à l’immigration, donc à l’Islam. À nous, lucides, de le convaincre de voter autrement…
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